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UN TERRIBLE CALVAIRE À NEW YORK AU 21e SIÈCLE 
La victime : « M. l'agent, je n’arrive pas à respirer dans cette fumée épaisse ! »
L’agent de police : « On va te donner une leçon sur la LOI AMÉRICAINE ! »

TÔT LE MATIN, UN PEU APRÈS MINUIT, 
LE 14 JANVIER 2012              
AU 84-32, 124 St., KEW GARDENS, 
NEW YORK 11415, USA           



L’invasion de la maison – un simple pavillon – a commencé le vendredi 13 janvier 2012. Je venais juste d’y emménager et je logeais dans le grenier (au 2e étage) de la maison où j’y avais installé ma salle de musique. Le casque sur les oreilles, j'étais en train de répéter pour les concerts que j'allais donner ce week-end-là dans les trois églises qui m’employaient comme musicienne et chanteuse.

L'archevêque du diocèse de New York et le président des États-Unis ont été informés des évènements tragiques et ont exprimé leur soutien à la victime :


Il se peut que je n’aie pas immédiatement entendu le bruit parce que je portais les écouteurs. De plus, la maison était remplie des animaux domestiques que nous avions secourus (mon colocataire et moi accueillons des animaux abandonnés). Ses deux gros chiens étaient en bas et plusieurs de mes chats étaient avec moi dans le grenier. Le propriétaire laissait toujours la porte du sous-sol ouverte pour que les chiens puissent librement entrer et sortir. Ce qui m'a fait peur tout à coup, c'est l'odeur soudaine de marijuana ; nous n'avions pas d'amis qui fumaient ce genre de produits. Tous connaissaient également ma maladie : j'ai une très forte allergie aux fumées toxiques. Je savais donc qu'aucun de nos amis n'entrerait jamais dans la maison ne serait-ce qu’avec une simple cigarette. Effrayée, je me suis couvert le nez d’une serviette en guise de masque et je suis descendue voir ce qu’il se passait. Au sous-sol, j'ai trouvé une femme ivre et droguée dans un brouillard de fumée de marijuana. J’ai appelé le propriétaire qui était alors au travail et il m'a dit de contacter la police. J’ai composé le numéro de la police (911) une première fois à 15h18, ce que l’on peut constater sur ma facture de téléphone en cliquant ici.

Deux policiers de patrouille sont intervenus suite à mon premier appel et m'ont dit qu'ils ne pouvaient rien faire car le propriétaire n'était pas là. Ils m’ont dit de rappeler quand le propriétaire serait rentré du travail. J'ai couru jusqu'au grenier en verrouillant toutes les portes derrière moi et, la peur au ventre, j'ai attendu le retour du propriétaire. Il m’est difficile de décrire la scène que, pendant ce temps, j’observais par les fenêtres du grenier et les bruits qui provenaient des étages inférieurs. Une foule de jeunes sous l’influence de l'alcool et de drogues s'étaient amassés autour de la maison – dans le jardin de devant et de derrière – tandis que d’autres continuaient d’affluer en grand nombre.... Certains rampaient, incapables de marcher ni même de se tenir debout, se traînant sur le sol en poussant des hurlements, se bagarrant entre eux et vociférant des obscénités… Ils n’étaient plus maîtres de leurs actes à cause des stupéfiants et de l'alcool qu'ils avaient consommés.… C'était la première fois que je voyais une telle chose. À l'intérieur de la maison, j’entendais un vacarme impressionnant, comme des bruits de verre brisé, ainsi que des hurlements. Plus tard, j’ai compris qu’ils vandalisaient tout, saccageant nos meubles et jetant par terre les objets les plus gros. De fortes odeurs de marijuana – et d’autres substances que je ne connais pas – pénétraient le grenier même par les fenêtres. Je me suis fabriqué d’autres « masques » avec des serviettes et j'ai utilisé l’inhalateur qui m’avait été prescrit pour respirer. Je peine à trouver les mots pour décrire ce que j'éprouvais. Ayant été avertie par les médecins après le diagnostic de ma maladie, je savais que la toxicité des fumées était nocive pour mes cordes vocales... Sans parler de ma sécurité physique et de la destruction de nos biens.

Il était environ minuit quand le propriétaire (âgé d’une cinquantaine d'années) et l’autre colocataire, sa cousine (âgée d’une soixantaine d'année), sont rentrés du travail. Nous communiquions avec nos téléphones mobiles. Lorsqu’ils se sont approchés de la maison assiégée, ils ont eu trop peur d’y entrer. J’ai rappelé la police dès que j’ai su que mes colocataires étaient en bas. Ce deuxième appel (911) figure également sur ma facture de téléphone. La patrouille constituée du sergent Brendan Dolan (#2459) et de l'agent Salvatore Ronzino (#30349) est intervenue suite à mon appel. Après toutes ces heures à suffoquer dans le grenier où je m'étais cachée, je pouvais enfin descendre et raconter ce qu’il s'était passé. Je n’arrivais pas à ouvrir les yeux dans cette atroce et épaisse fumée. De plus, mes chats apeurés avaient renversé l’une de leurs litières et le contenu s'était déversé sur les marches d’accès au grenier. J’ai pris la balayette que je rangeais à proximité et, en tâtonnant, j'ai essayé de nettoyer la litière répandue sous mes pieds pour mieux sentir les marches et pouvoir descendre. Tout ce dont je me souviens, c'est que j'essayais de couvrir non seulement mon nez mais également tout mon visage pour me protéger du brouillard nocif, lorsque j'ai retrouvé mes colocataires et la police en bas. Dans un anglais clair et simple, j'ai immédiatement expliqué que je souffrais d’une affection médicale, puis j'ai commencé à interpréter pour le propriétaire qui avait déjà tenté de raconter les faits. Le sergent Dolan s'est alors mis crier : « VOUS AVEZ LOUÉ ILLÉGALEMENT LA MAISON. VOUS DEVEZ ALLER AU TRIBUNAL POUR LITIGE LOCATIF ! », tandis que j’essayais éperdument de lui expliquer de la part du propriétaire que ce dernier N'AVAIT PAS loué sa maison et qu’il ne connaissait aucun des dangereux intrus. Nos vies étaient menacées, nos biens détruits... C’est cela qui me paraissait le plus important, sans parler de mon trouble respiratoire. Tout à coup, alors que la fumée m'étouffait et que je poursuivais désespérément mes explications, le sergent Brendan Dolan m'a tordu les deux bras dans le dos, m'empêchant ainsi de tenir mon masque filtrant, m'a orientée dans la direction où la fumée était la plus intense et m’a contrainte à la respirer. Il m’a crié : « TU FERAIS MIEUX DE TE TAIRE OU BIEN TU VAS VOIR CE QU’ON VA FAIRE ! » À travers mes larmes, j’ai répondu : « J’ai un trouble médical. Je ne dois pas respirer cette épaisse fumée ! » « ON VA TE DONNER UNE BONNE LEÇON. C’EST LA LOI AMÉRICAINE ! » – a rétorqué l’oppresseur. Choqués, mes colocataires se sont mis à crier tandis que je commençais à m'étouffer ; il a alors relâché son emprise. Je me suis précipitée au grenier et, en état de choc et remplie de crainte, j’ai composé à nouveau le 911 pour signaler ce qu’il venait de se passer – ce troisième appel figure également sur ma facture téléphonique. Le policier au bout du fil a transféré mon appel à l’Inspection générale de la police (la police des polices) pour que je dépose plainte contre l'agent qui m'avait maltraitée et qui fraternisait avec les dangereux assaillants. On m’a donné un numéro de dossier. Moi, bien évidemment, je continuais à réclamer de l'aide pour notre maison assiégée. Après ce troisième appel, l’air étant tellement toxique, j’ai réalisé que je ne pouvais pas rester plus longtemps dans cette maison. Il fallait que je m’habille et que je parte. Mais j’avais mis une lotion capillaire avant le début de l’invasion et je ne pouvais pas sortir en plein hiver avec ce produit dans les cheveux. Toujours en retenant mon souffle et en faisant des exercices de respiration, je suis entrée dans la petite douche du grenier et j’ai commencé à rincer la lotion, mon intention étant de me sécher les cheveux aussi rapidement que possible pour pouvoir partir.

Mais entre-temps, le sergent Dolan ayant appris que j’avais déposé plainte était revenu. Il avait appelé une ambulance et ordonné aux ambulanciers de me faire « enfermer ». Le fauteuil roulant et la camisole de force avaient été préparés et m'attendaient en bas, sur le perron. Toutefois, l’ambulancier a refusé de me mettre la camisole de force quand il m’a vue dans le grenier en train de me couvrir le nez, peinant à respirer dans la fumée épaisse et essayant désespérément de me préparer pour quitter la maison. Il est redescendu et m’a laissée continuer à m’habiller. Mais après le départ de l’ambulancier, le sergent Brendan Dolan est entré dans le grenier. Il a laissé la porte de la pièce grande ouverte et, comme il l’avait fait précédemment, m’a à nouveau tordu les bras dans le dos et forcée à respirer les fumées toxiques. « JE SUIS VENU TE DONNER UNE LEÇON SUR LA LOI AMÉRICAINE » – a-t-il dit, et… il m’a menottée dans le dos ! Il m’a ensuite fait descendre les étages en me traînant dans la fumée, alors que j'étais presque entièrement dévêtue parce que je sortais de la douche, les cheveux dégoulinant d'eau et de shampoing. Mon peignoir n'étant pas attaché s'est ouvert mais mes poignets étant menottés dans le dos, je ne pouvais pas le refermer. La foule d’intrus amassée dans la cage d'escalier riait de voir mes parties intimes ainsi exposées. Toujours parce que mes bras étaient attachés dans le dos, je ne pouvais pas tenir mon inhalateur et la réaction allergique s'est déclenchée pour la première fois cette nuit-là. J'ai ressenti un goût de sang et une douloureuse sensation de brûlure dans les narines et au fond de la gorge. J’ai compris que je courrais un danger de mort si l'inflammation se propageait jusqu’aux poumons. Il me fallait immédiatement mon filtre et mes médicaments. À cause de cela, j’ai crié à l’aide mais l’oppresseur m’a seulement répondu:          « FERME-LA OU ON TE FAIT ENFERMER ! ». C’est dans cet état que l’on m'a trainée en plein hiver dans la rue, puis en prison. C'est la dernière fois que j'ai vu ma maison à Kew Gardens, avec tous mes biens et mes fournitures médicales. La bande a tout dévalisé ou brûlé. En prison, on ne m'a pas accordé de soins car le sergent Dolan et les ambulanciers avaient rédigé un FAUX RAPPORT MÉDICAL, sur lequel ils ont IMITÉ MA SIGNATURE, pour dissimuler les sévices qu’ils m’avaient fait subir. La municipalité m’a ultérieurement accordé l’indemnisation aux victimes d'actes criminels en tant que victime de la police new-yorkaise. À ce jour, je suis encore sous traitement suite aux maltraitances que j’ai subies. À titre de preuve, cliquez ici pour voir leur falsification, les pseudo « examens médicaux » qui n’ont jamais eu lieu et le matricule de l’oppresseur.
Mon état de santé s’était aggravé et était impossible à soigner en raison du fait qu’on m’avait privée de mon foyer où se trouvaient tout le matériel médical que les médecins m’avaient prescrit pour mon affection. Libérée après trois jours de détention, j’ai appris que je n'étais pas autorisée à rentrer chez moi. Les agents de police Brendan Dolan et Salvatore Ronzino avaient rédigé un FAUX RAPPORT et Salvatore Ronzino l'avait signé pour dissimuler le comportement criminel de son supérieur. Au lieu d’avoir inscrit mon nom sur la ligne correspondant à la personne qui avait composé le 911 pour signaler l’invasion de la maison, ils avaient inscrit le nom de l’un des assaillants et ils y ont joint plusieurs autres documents falsifiés. Par exemple, ils m’ont fallacieusement fait figurer dans le rapport comme « la propriétaire de la maison » qui a tenté de « tuer » son « locataire » avec une « arme » qui n’a jamais existé. La balayette utilisée pour nettoyer la litière des chats étant ladite « arme ». Les notes mensongères des deux policiers sont jointes au pseudo rapport. Ils sont allés jusqu'à inventer une FAUSSE PLAINTE au nom de l'assaillant, lequel ne pouvait pas déposer plainte contre moi puisqu’il ne me connaissait pas et que, comme tous les autres intrus, il ne savait pas que j'étais cachée dans le grenier de la maison à attendre l'arrivée de la police. Et enfin... Comment une personne totalement sous l'emprise de stupéfiants et à moitié consciente peut-elle déposer plainte ? Vous pouvez consulter ce rapport fallacieux ici.

L'avocat de l’aide juridictionnelle et la procureure adjointe savaient pertinemment que j'étais la VRAIE VICTIME et celle qui avait composé le 911 à l’adresse de Kew Gardens, parce que le rapport des appels au 911 (fourni par le siège de la police) était joint au faux rapport consultable ici.

Mais les poursuites criminelles dont je faisais l’objet – et qui m’exposaient à un danger mortel – engagées en vue de « prouver ma culpabilité » devaient se poursuivre jusqu'à l'expiration de la période accordée par la loi. Ma soi-disant culpabilité n’a jamais été prouvée, mais entre-temps, la bande avait eu le temps d’utiliser la maison pour se livrer au trafic de stupéfiants et pratiquer leurs activités de proxénétisme sous la surveillance de certains éléments de la police new-yorkaise ! À cause des mensonges contenus dans le faux rapport, l'agresseur s'est vu accorder une ORDONNANCE DE PROTECTION contre moi, la vraie victime ; vous pouvez la consulter ici.

Je ne savais pas qui bénéficiait de cette ordonnance de protection, je ne savais pas à quoi ressemblait cette personne... Alors, comment pouvais-je me tenir éloignée d’elle, comme on me l'avait ordonné ?

J’avais la chance d’avoir encore des amis avocats. J'avais travaillé comme interprète pour certains cabinets juridiques et ces avocats m'ont été plus utiles que ceux qui étaient impliqués dans mon dossier.... Ils m’ont conseillée d’aller « [...] aux archives du tribunal pénal pour demander si le bénéficiaire de l’ordonnance de protection avait un casier judiciaire ». C'est donc ce que j'ai fait. Et j’ai découvert que la personne en question était un délinquant récidiviste qui, au moment de l’invasion de la maison, avait déjà été arrêté 9 fois (à l’âge de 21 ans !) et que sa 10e arrestation avait eu lieu pendant qu’il squattait chez nous comme pseudo locataire et se livrait au trafic de stupéfiants pour ses protecteurs policiers… Vous pouvez consulter ici les documents que j’ai trouvé dans les archives judiciaires.

Ensuite, toujours grâce à mes amis avocats, j’ai pu prendre connaissance de la nature des charges mentionnées dans les actes d'accusation du délinquant, lesquelles sont consultables ici.

Un dangereux récidiviste – accusé de détention de stupéfiants, d'agression sur autrui, de cambriolages et de vols – bénéficiait d’une ordonnance de protection contre moi, sa toute dernière victime! Ma maison (et tout le matériel médical prescrit qui s’y trouvait) avait été mise à la disposition de ce récidiviste pour qu’il puisse se livrer au trafic de stupéfiants et pratiquer ses activités de proxénétisme ! Et cela n'est pas tout… Encouragés par cette ordonnance de protection, lui et sa bande ont commencé à me pourchasser dans toute la ville. Ils cherchaient à connaître dans quels endroits j’allais interpréter ma musique et menaçaient le propriétaire de la maison de “« TUER LA C*NNASSE » ou encore de « REFAIRE COFFRER LA C*NNASSE » si celui-ci osait les mettre dehors. Quelques jours après l'invasion initiale de la maison, ils m’ont poursuivie dans la rue tandis que je me rendais sur l’un de mes lieux de travail et ont provoqué une autre arrestation injustifiée, alors que cette fois aussi, c’est moi qui avais appelé la police et crié à l'aide pendant que j'étais pourchassée par ce violent groupe d’inconnus sous l’emprise de stupéfiants. Il a fallu que j’abandonne tous mes emplois et que je déménage définitivement dans un autre État pour ma sécurité.

Chaque fois que le propriétaire de la maison appelait la police ou se rendait au commissariat du quartier pour demander de l'aide parce que l’on cambriolait et vandalisait sa maison, on le menaçait d’arrestation, lui et ses interprètes, pour avoir appelé les autorités. Ainsi, la police encourageait chaque nouvel intrus qui rentrait illégalement dans la maison à y loger comme pseudo locataire. Le propriétaire a engagé des procédures d’expulsion au civil, mais ses efforts ont été vains, et même très dangereux pour sa sécurité. Pendant ce temps, d’autres vandales continuaient de s’introduire dans la maison et de s'y installer, encouragés et protégés par la police new-yorkaise. Pendant ce temps aussi, d’autres faux documents étaient fabriqués ; vous les trouverez sur mon blog ici. Vous verrez comment la police des polices n’a fait que falsifier mes plaintes, toujours en faveur des policiers coupables. La police des polices s'est contentée de copier le faux rapport initial, plutôt que de consigner les faits tels que je les avais signalés.

La bande a fui la maison lorsque le journaliste TV de « Help Me Howard » est venu avec ses caméras; en voici des clips vidéo:

                                             https://youtu.be/3vvoaFte8E8
                                                         
                                                                     
                                           https://youtu.be/HuTTbZOoIKo                                                          

Grâce à l’aide de « Help me Howard », le propriétaire a enfin pu retourner dans sa maison –totalement saccagée – et nettoyer les débris, puis rapidement vendre la maison.
En tout, la propriété est restée entre les mains des assaillants pendant plus de 5 mois.

La bande s'en est alors pris à d’autres résidents ; j’ai appris qu’il y avait eu d’autres personnes victimes de la même combine. Ils ciblent des immigrés dont le dossier est en instance de traitement et que la police fait passer pour des « déséquilibrés » et/ou livre aux autorités de l’immigration pour les faire expulser du territoire sans raison valable, car ils sont des témoins gênants. Mon colocataire de Kew Gardens était clairement la dernière victime qu’ils avaient repérée puisque son statut était aussi en instance de traitement. Mais ils ne s'attendaient pas à me trouver dans sa maison, puisque je venais d’y emménager. Ils ne pouvaient pas me faire expulser, comme ils ont l’habitude de le faire avec les autres témoins gênants, puisque j'étais citoyenne américaine, alors ils ont inventé de nouvelles méthodes pour me neutraliser et permettre à la bande d’utiliser notre maison pour y pratiquer leurs activités illégales.
Trois ans plus tard, j’ai obtenu gain de cause dans la plainte que j'avais déposée au civil contre la police de New York, mais les avocats impliqués ont eu trop peur de révéler toute la vérité au juge. Voici ce qu’ils m’ont dit: « N’allez pas trop loin avec la police. Cela pourrait vous occasionner des problèmes de circulation routière. » Ainsi, les malfaiteurs en uniforme peuvent tranquillement poursuivre leurs activités, car ils savent que tout le monde a peur d'eux. Ils continuent à importer des stupéfiants dans la ville et cherchent continuellement de nouveaux lieux où pratiquer leur trafic. Les pires criminels sont leurs meilleurs clients dans ce commerce. Il n'existe pas de brigade pour enquêter sur ces crimes. La police des polices falsifie toutes les plaintes des victimes. Les policiers coupables sont constamment innocentés et peuvent continuer à perpétrer leurs crimes. Le dangereux protecteur de la bande et falsificateur des documents a été muté du quartier de Queens au Bronx. Les nombreux et dangereux toxicomanes qui avaient déferlé chez nous sont toujours en liberté.

J'ai signalé tous les faits au Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme à Genève, en Suisse, et j'ai ensuite été invitée à m'y rendre en personne en avril 2018. Des affiches grand format relatant mon expérience sont toujours exposées dans les bureaux de l'ONU; je continue d'espérer que quelque chose sera enfin fait au niveau international concernant le système anormal aux USA. Le Bureau des Nations Unies regorge de plaintes contre la police de New York. Pour voir l'affiche, cliquez iciPour plus de détails, rendez-vous ici.

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